Monthly Archives: novembre 2021

BDSK_web_2018_actualites

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Après les annonces que Bernard vous a faites récemment, il en est une que je tiens beaucoup à faire moi-même :
 
Bernard a lui-même brillamment et vaillamment réussi l’examen d’instructeur de Kata pour Isutsu no Kata !
 
Il s’agit du dernier Kata du Kodokan, créé par Maître Kano, et qui n’est pratiquable (en théorie) et examinable (en réalité) que par les hauts gradés de Judo.
 
C’est un Kata magnifique, constitué de 5 techniques extrêmement symboliques que Bernard a magnifiquement exécutées, avec l’excellente collaboration de Léo.
 
Donc la prochaine fois que vous croisez Bernard, ne manquez pas de le féliciter : c’est rare de voir un professeur détenant autant de titres que le vôtre, ce qui par là même témoigne de sa perpétuelle inspiration à élever sa pratique, son dojo, et par conséquence, chacun d’entre nous.
 
A bientôt !
Christine

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Le samedi 6 novembre passé, à Lausanne, ont eu lieu les Examens Dan organisés par la Fédération Suisse de Judo et Ju-Jutsu.

À cette occasion, Thomas Weber a accédé au 1^er Dan de Judo !
Nous le félicitons chaleureusement pour ce succès.
Ayant pratiqué le Judo en Allemagne durant de très nombreuses années, Thomas a repris la pratique dans le cadre des Sports Universitaires avant de rejoindre notre Dojo. Et ce parcours s’est finalement concrétisé par l’obtention d’une ceinture noire dont nous sommes tous très heureux !

Et lui aussi.

Lors du même examen, Jonathan Meyer, que nous connaissons tous puisqu’il est un enseignant de Ju-Jutsu très expérimenté, un Judoka de très longue date, ainsi qu’un pratiquant d’armes haut gradé (Sabre, Ken-Jutsu, Jo-Jutsu), Jonathan, disions-nous, a brillamment réussi l’examen de 3^ème Dan de Judo.
Son examen était (comment dire ?) à l’exacte mesure de tout ce qu’il fait : brillant, clair, efficace, beau, conscient, calme, profond, et aussi franc et puissant…  Son examen était « Bodaïshinkan Ryu », pourrait-on dire, en résumant.

Il était accompagné de Xavier Goël pour la (longue et rugueuse) démonstration technique ; et de Luca Guarmaccia pour les deux Kata demandés : le Nage no Kata et le Kime no Kata (ce qui, on s’en doute, fait pas mal de techniques a assimiler parfaitement et parfois assez… douloureusement).
Leurs prestations à tous les deux furent magnifiques, elles aussi : bravo à eux également, qui ont beaucoup œuvré pour donner aux démonstrations de Jonathan la scintillance et la prestance dont il est capable.

Le 6 novembre fut un jour d’Examen de Judo.
Le 6 novembre fut un beau jour.

BW

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Le samedi 13 novembre ont eu lieu d’autres Examens organisés par la même FSJ : mais des Examens d’Instructeur de Kata, cette fois.
 
« Instructeur de Kata » ?
 
Voilà un titre qu’il faut vraiment convoité, pour lequel il faut beaucoup travaillé, s’entraîner, persévérer ; chuter et se relever.
On ne passe pas cet examen « comme ça ».
Le parcours est long jusqu’à y être admis : des cours de formation spécifiques, d’autres cours, des cours encore et toujours jusqu’à avoir rempli toutes les conditions pour figurer sur la très courte liste des candidats possibles.
 
Un Kata après l’autre, patiemment, courageusement, tout en ne lâchant rien et en tenant tout : en persévérant.
Et une fois sur place, dans l’arène et en plein centre du Dojo, il s’agit de démontrer concrètement, oui, mais aussi de répondre aux cent et une questions des Experts haut gradés de notre Fédération (dont celles, pointues, de Monsieur Mikami, qui est à la tête de cette sérieuse délégation).


Bref : être Instructeur de Kata c’est chouette, ça en jette, c’est cool et c’est classe, mais il faut se donner et tout donner.

Et il faut tout savoir.
 
Léo Vodoz, dont on sait qu’il est professeur de Judo, possède des grades dans plusieurs disciplines Budo (Sabre, Ken-Jutsu, Jô-Jutsu, Ju-Jutsu et bien sûr Judo, 4^ème Dan), a brillamment réussi l’Examen qui le conduit au titre d’Instructeur de Nage no Kata (Instructeur de Katame no Kata, il est déjà).

C’est chouette, ça en jette, c’est cool et c’est classe, certes, mais pour cela il s’est donné et a tout donné : ses plus belles qualités.
 
C’est Nicolas Henny qui a tenu le rôle de partenaire, et cela dans une attitude vraiment majestueuse, avec tant de savoir, d’ailleurs, qu’il envisage à son tour le même Examen ; et cela pour bientôt, dans pas longtemps, tout soudain. Presque demain.
 
Félicitations à Léo et à Nicolas.
Qui portent haut la réputation de notre Dojo en réussissant un Examen parmi les plus difficiles, complets et… probants de leurs multiples qualités de parfaits Judokas.
 
BW

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Vous trouverez ci-dessous les nouvelles mesures fédérales quant à la pratique des sports, valable dès aujourd’hui.

En résumé, le certificat COVID est désormais nécessaire pour TOUS les cours, pour TOUTE personne de plus de 16 ans.
Les cours qui ne le nécessitaient pas (le mardi à 17h et le vendredi pour les armes) y sont désormais soumis.

Le masque est quant à lui de nouveau obligatoire dès 12 ans dans les espaces clos, sauf durant la pratique.

Le relevé d’identité est toujours requis.

Pour information, nous n’appliquerons pas la règle des « 2G » (possible dès le 13 décembre), et les certificats COVID reçus après un test restent valables pour nous.

Je reste à votre disposition pour tout complément d’information, et vous souhaite une très bonne semaine.
Meilleures salutations
Christine Wirz

—

Mesdames et Messieurs les président·e·s
Mesdames et Messieurs,
 
Face à l’évolution de la situation sanitaire et afin de protéger les capacités hospitalières, le Conseil Fédéral a renforcé vendredi 03 décembre 2021 les mesures de lutte contre la pandémie.
 
Vous trouverez ci-dessous les nouvelles règles fédérales à appliquer dans le cadre de la pratique sportive. Ces mesures entreront en vigueur à partir d’aujourd’hui, lundi 06 décembre 2021.
 
SPORT EN INTÉRIEUR :
Le certificat COVID devient obligatoire dès 16 ans pour toutes les activités sportives en intérieur. L’exception en vigueur aujourd’hui pour les groupes fixes jusqu’à 30 personnes est supprimée.
·         Toutes les personnes dès 16 ans sont concernées, aussi bien les sportives et sportifs que les personnes encadrantes (monitrices et moniteurs).
·         Le prestataire d’activité / le club est responsable de contrôler le certificat COVID de toutes les personnes. Naturellement, ces personnes doivent également disposer elles-mêmes d’un certificat valable.
·         En raison de l’obligation de certificat il n’est plus obligatoire de former des groupes fixes. La limitation de capacité à 30 n’existe plus. Elle a été remplacée par l’obligation d’être en possession d’un certificat COVID.
·         En extérieur, le certificat COVID n’est pas obligatoire, à l’exception des événements en plein air dès 300 personnes (voir ci-après).
Le port du masque reste obligatoire dès 12 ans dans les lieux clos (vestiaires par exemple).
·         L’obligation du port du masque n’est pas obligatoire pendant la pratique sportive.
·         Si la pratique sportive se fait sans masque, les données de contact doivent être collectées. Le club ou le prestataire de l’activité est responsable de collecter les coordonnées de toutes les personnes présentes afin de pouvoir les contacter rapidement en cas d’infection. La liste de présence reste en effet nécessaire sauf si l’on porte le masque en permanence.
·         En extérieur, le port du masque n’est pas obligatoire, sauf dans les vestiaires et espaces clos.
 
MANIFESTATIONS SPORTIVES :
À l’extérieur :
·         Le certificat COVID devient obligatoire pour les événements en plein air dès 300 personnes. Jusqu’à présent, la limite était fixée à 1000 personnes.
·         Pas d’obligation du port du masque et de consommation assise
 
À l’intérieur :
·         Le certificat COVID est systématiquement obligatoire.
·         Le port du masque est obligatoire.
·         Consommation uniquement assise
 
Tous les événements auront désormais la possibilité de restreindre l’accès aux seules personnes vaccinées et guéries (2G), et pourront ainsi renoncer à l’obligation du port du masque et à la consommation assise. Si l’organisateur d’un événement le désire (match de championnat par exemple), il peut, dès le 13 décembre, n’accepter que les personnes vaccinées ou guéries (refus des personnes testées). À ce moment, le port du masque tombe ainsi que l’obligation de consommer assis.
 
Enfin, nous vous informons que la Municipalité de Lausanne a d’ailleurs décidé de suivre cette approche et limiter l’accès aux événements et manifestations publiques organisés par la Ville aux personnes vaccinées et guéries, les tests négatifs n’étant plus acceptés (règle dite des « 2G »). Ainsi, il n’y a pas d’obligation de porter un masque et de consommer assis.
 
Toutes les dernières informations relatives à la pratique sportive sur le territoire vaudois et les mesures sanitaires à respecter sont détaillées et résumées sur le site internet du Service de l’éducation physique et du sport du Canton. Nous vous invitons à consulter attentivement et régulièrement cette page.
 
En vous remerciant de l’attention que vous porterez à ces lignes et en restant à votre disposition pour tout renseignement complémentaire, nous vous prions de recevoir Mesdames et Messieurs les président·e·s, Mesdames et Messieurs, nos salutations les meilleures.